Elle a ainsi rencontré pour la première fois le père noël à la crêche :-) Elle a même eu le droit d'être prise en photo en costume de circonstance :
Bisous à tous !
jeudi 18 décembre 2014
C'est noël !
Et oui, c'est déjà le premier noël de la choupinette !
Elle a ainsi rencontré pour la première fois le père noël à la crêche :-) Elle a même eu le droit d'être prise en photo en costume de circonstance :
Elle a ainsi rencontré pour la première fois le père noël à la crêche :-) Elle a même eu le droit d'être prise en photo en costume de circonstance :
La choupinette a 5 mois !
Aujourd'hui est un jour spécial. La choupinette a 5 mois ! C'est son moiniversaire ;-)
C'est aussi le premier message depuis octobre dernier. Pourquoi une absence aussi longue ? Parce que depuis le mois d'octobre, on n'avais plus une minute à nous. Trop de projets en parallèle, trop de trucs à gérer, et trop de trop, ca fait que l'on ne vivait plus, on survivait !
Oui oui me direz vous mais c'était quoi concrètement ? Alors je cite :
- Rentrée de Pauline en crèche
- Reprise du boulot de Julie
- Démarrage des travaux de l'appart
- Changement de boulot de Julie
- Début de l'apprentissage de mon nouveau boulot
- Suivi du chantier de l'appart
- Ensuite travaux à faire nous même (plus que prévu)
- Gestion du vol de nos clés
- Déménagement
Tout ceci ajouté au fait que Pauline devait ressentir notre niveau de stress ce qui la déréglait dans son rythme. On était arrivé certains jours à se lever plus de 4 fois dans la nuit... Ce qui augmentait notre fatigue et alimentait ce cercle vicieux...
Enfin tout ceci semble prendre fin ! Depuis l'emménagement on sent Pauline retrouver de la sérénité, tous comme nous ! On s'y sent bien et on va commencer à pouvoir redresser la tête...et continuer ce blog !
Pour fêter cette reprise une petite photo de la choupinette :
Bisous à tous
C'est aussi le premier message depuis octobre dernier. Pourquoi une absence aussi longue ? Parce que depuis le mois d'octobre, on n'avais plus une minute à nous. Trop de projets en parallèle, trop de trucs à gérer, et trop de trop, ca fait que l'on ne vivait plus, on survivait !
Oui oui me direz vous mais c'était quoi concrètement ? Alors je cite :
- Rentrée de Pauline en crèche
- Reprise du boulot de Julie
- Démarrage des travaux de l'appart
- Changement de boulot de Julie
- Début de l'apprentissage de mon nouveau boulot
- Suivi du chantier de l'appart
- Ensuite travaux à faire nous même (plus que prévu)
- Gestion du vol de nos clés
- Déménagement
Tout ceci ajouté au fait que Pauline devait ressentir notre niveau de stress ce qui la déréglait dans son rythme. On était arrivé certains jours à se lever plus de 4 fois dans la nuit... Ce qui augmentait notre fatigue et alimentait ce cercle vicieux...
Enfin tout ceci semble prendre fin ! Depuis l'emménagement on sent Pauline retrouver de la sérénité, tous comme nous ! On s'y sent bien et on va commencer à pouvoir redresser la tête...et continuer ce blog !
Pour fêter cette reprise une petite photo de la choupinette :
Bisous à tous
lundi 13 octobre 2014
samedi 20 septembre 2014
Et le premier rhume...
Je hais le rhume. Et ce sentiment est décuplé lorsque cette saleté de virus s'attaque à ma progéniture...
Cela fait bien deux jours que notre choup's lutte contre cette agresseur microscopique qui ne lui laisse aucun répit. Pauvre petite choup's, après deux mois de vie à nos côtés, la voilà en guerre contre cette vermine. Qu'il est lâche de s'en prendre à plus faible !!!! Qu'il m'attaque moi, s'il en est capable, ce traître, ce misérable microbe sans foi ni loi.
Alors nous, ses parents et alliés dans cette bataille contre le mal, on a mobilisé du matériel de guerre :
L'armée est en ordre de bataille. Courage petite Pauline ! Maman te donne ses petits soldats d'anti-corps à travers son lait maternel. L'envahisseur ne devrait plus tenir très longtemps !
Cela fait bien deux jours que notre choup's lutte contre cette agresseur microscopique qui ne lui laisse aucun répit. Pauvre petite choup's, après deux mois de vie à nos côtés, la voilà en guerre contre cette vermine. Qu'il est lâche de s'en prendre à plus faible !!!! Qu'il m'attaque moi, s'il en est capable, ce traître, ce misérable microbe sans foi ni loi.
Alors nous, ses parents et alliés dans cette bataille contre le mal, on a mobilisé du matériel de guerre :
Le mouche nez :
Accessoire d'infanterie nécessaire pour extraire l'ennemi des narines de notre Choup's. C'est efficace mais Pauline en apprécie moyennement l'usage...
La seringue de Doliprane à boire :
Médicament nécessaire à notre Choup's pour supporter la gêne occasionnée par cette guerre interne. En plus cela à le goût framboise. Pas désagréable et efficace.
Le Doliprane en suppositoire :
La Grosse Berta en Paracétamol. Arme de destruction massive, on l'utilise avec parcimonie.
L'armée est en ordre de bataille. Courage petite Pauline ! Maman te donne ses petits soldats d'anti-corps à travers son lait maternel. L'envahisseur ne devrait plus tenir très longtemps !
jeudi 18 septembre 2014
Joyeux anniversaire Pauline !
Aujourd'hui 18/09/2014, tu as deux mois déjà ! Que tu as changé en si peu de temps... Et pour preuve, quelques statistiques :
Et voici en images, avant / après :
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Bises à vous tous !
lundi 15 septembre 2014
Rétrospective : Accouchement acte 4
Je regarde rapidement par la fenêtre de notre chambre. Le soleil a choisi d'accompagner la naissance de notre choupinette. D'ailleurs, sa présence se manifeste par une chaleur accablante : +33°C et pas un brin d'air. Nous on ne s'en rend pas vraiment compte dans notre chambre climatisée (et c'est tant mieux !). Julie n'est pas sortie depuis 3 jours. On est vraiment dans notre bulle.
Julie a retrouvé une expression de visage normale. On reprend le dialogue, on est tous les deux soulagés. La sage-femme examine le col. Ouverture à huit, l'accouchement est imminent !
La choupinette se présente bien mais elle est encore bien haut placée dans le ventre de la maman. Il faut attendre un peu qu'elle redescende. C'est donc la dernière ligne droite.
La sage femme revient une heure après. Le col est complètement ouvert. Elle prépare les modules pour accueillir notre petite Pauline :
Julie a retrouvé une expression de visage normale. On reprend le dialogue, on est tous les deux soulagés. La sage-femme examine le col. Ouverture à huit, l'accouchement est imminent !
La choupinette se présente bien mais elle est encore bien haut placée dans le ventre de la maman. Il faut attendre un peu qu'elle redescende. C'est donc la dernière ligne droite.
La sage femme revient une heure après. Le col est complètement ouvert. Elle prépare les modules pour accueillir notre petite Pauline :
Le chariot de la sage-femme
La lampe a été allumée pour préchauffer les draps
On garde un oeil sur le monitoring de la choupinette
A voir tous ces préparatifs, il faut dire que la pression monte. On va enfin rencontrer notre choupinette après neuf mois d'attente :-)
Pauline semble être un peu redescendue. La sage femme propose de se lancer. Elle est accompagnée d'une auxiliaire de puériculture et d'une étudiante (Julie a autorisé sa présence - elle a été étudiante aussi...)
L'idée pour Julie était de "pousser" pendant une contraction et de reprendre sa respiration pendant la phase de pause. Après deux essais infructueux, la sage femme a conclu que Pauline n'était pas encore assez engagée. Il fallait encore attendre une demi-heure.
Avant cette échéance, Julie m'indique qu'elle sent la petite arriver. Sans perdre de temps on sonne la sage-femme pour qu'elle revienne. On recommence la procédure. Cette fois, la choupinette descend petit à petit.
Quant à moi je suis posté à la tête du lit, je tiens la main à Julie. Comme depuis le début je ne sers à rien.... mais je la soutiens.
Tout d'un coup, je vois une mèche de cheveux apparaître. Elle est brune !!! Pauline aura les cheveux de son père ! :-)
J'encourage Julie en lui disant que la petite est bientôt là, que sa tête est presque dehors. La tête passe. Cela fait bizarre. Elle n'émet pour l'instant aucun son.
Encore un dernier effort et Julie peut dégager elle même le corps de notre choupinette ! Avec l'aide de la sage femme, notre petit trésor est placé contre la poitrine de Julie...
Pauline est née, ce vendredi 18 juillet 2014, à 15h51 !
Voici une de ses première photos :
Contrairement à ce que j'avais pu imaginer ou voir au cinéma, l'accouchement ne fut ni excessivement sanguinolent ni bruyant. Pauline a effectivement un peu pleuré mais s'est vite apaisée sur la poitrine de sa maman.
Elle a été mise au sein immédiatement et a commencée quelques minutes après sa première tétée. Pendant ce temps, la sage femme récupéra le placenta qui est venu rapidement après.
Elle a été mise au sein immédiatement et a commencée quelques minutes après sa première tétée. Pendant ce temps, la sage femme récupéra le placenta qui est venu rapidement après.
Quelques minutes de répit et ensuite la choupinette fut pesée par l'auxiliaire de puériculiture. Résultat : 3, 230 Kg et 49 cm :-)
J'ai pu ensuite l'habiller pour que l'on puisse doucement remonter en chambre, afin de laisser la place aux autres futurs mamans... Bon courage à elles ;-)
Depuis, nous profitons de chaque instant avec notre petite Pauline :-)
Bises à tous,
Julien
vendredi 15 août 2014
4 semaines !
Notre petit trésor grandit à la vitesse de la lumière ! Déjà 4,2 Kg et 54 cm !
Bises à vous tous !
dimanche 10 août 2014
Rétrospective : Accouchement acte 3
On remonte dans la chambre. Il n'a suffit que de quelques minutes pour que les premières contractions se fassent sentir. Pour l'instant, rien qui ne soit insupportable. Pour l'instant.
Le temps passe jusqu'au prochain monitoring. On redescend une nouvelle fois en salle d'accouchement. Le graphique montre bien les contractions mais elles manquent encore de régularité et d'intensité. La sage femme nous rassure (ou nous inquiète plutôt) : si le tampon est le plus souvent à efficacité rapide, cela peut prendre jusqu'à deux jours... - soupir - On demande à ce que la sage femme regarde où en est le col, histoire de savoir d'où l'on part. Verdict : à ce moment, le col est long et ouvert à peine à 1. On part donc de rien. Pour information, le travail est terminé quand le col est plat et ouvert à 10. Et en moyenne, il faut compter au moins une heure par unité...
On remonte impatient. Nouveau rendez vous en salle à 16h. Est ce que cela va finir un jour ? On commence à désespérer, le temps se fait long. On y est depuis la nuit de mercredi à jeudi, il est vendredi 11h et le col n'est toujours pas ouvert d'un pouce...
Mais notre souhait va être exaucé. Une demi heure après être remontés, les contractions s'intensifient et deviennent régulières. Et très fréquentes. Alors on essaye de mettre en oeuvre nos cours de préparation à l'accouchement. Surtout la respiration. Julie se débrouille bien. Elle souffre mais semble bien gérer la situation.
Pour le coup, je n'imaginais pas la situation comme cela. Lors des cours de préparation, je m'imaginais en salle d'accouchement avec une sage-femme à nos côtés pour nous soutenir. Mais ce n'est pas le cas. Nous sommes seuls dans notre chambre et Julie commence à souffrir le martyr.
Alors que des contractions normales durent une minute avec une pause de 2-3 minutes environ entre chaque, là il semble que les contractions s'enchaînent sans aucune pause.
Julie n'arrive plus à rester allongée. Elle essaye de prendre une douche. Je l'entends souffrir. En sortant on tente d'essayer différentes positions. Je dis "tenter" car aucune ne permettait d'arranger la situation. Les contractions s'enchaînaient sans répit. Je me souvenais que lors des préparations, la sage femme nous avait dit que si la maman panique ou ne gère plus la douleur, il faut que le papa prenne sa main, la regarde dans les yeux et respire simultanément avec elle. Pour qu'elle se concentre sur la respiration. Pour qu'elle évite de se crisper sur la douleur. Nous le faisons mais j'ai du mal à soutenir son regard. Elle souffre et je ne peux rien pour elle. Ce fut les plus durs moments. Voir sa femme souffrir à ce point fut pour moi une épreuve atroce.
Cela fait trois heures que cette situation dure. Julie ne parle plus. Je la sens presque perdre la boule. Elle répète inlassablement mon nom ou me répète sans cesse dans un sifflement de voix que cela ne va pas... Je me dis que cela fait seulement 3 heures et que potentiellement, cela peut encore en prendre le double. Il faut redescendre, il faut la péridurale, tant pis pour son projet de naissance. Si Julie continue comme cela, elle va finir exténuée et ne sera pas en mesure de faire l'effort final. Dans cette douleur, elle ne profitera pas de ce moment merveilleux.
J'essaye de capter un moment de lucidité. "Il faut prendre la péridurale" lui dis-je. On doit redescendre et la demander. Elle accepte. Encore faut il pouvoir redescendre. Julie a vraiment du mal à marcher. Avec le recul, je me dis que j'aurais du demander de l'aide, un fauteuil roulant par exemple. Mais sur le coup, on se dit que cette douleur est normale (à tort on le verra après) et qu'il faut passer par là.
Je prépare les affaires pour la salle d'accouchement. Cette fois, c'est pour de bon. On ne remontera pas dans cette chambre sans la choupinette !
On redescend péniblement. Et péniblement c'est encore un euphémisme. Je vois encore les regards des gens que l'on croise...
On arrive en salle. On explique la situation à la sage-femme, qui la constate d'elle même. Elle pose des questions à Julie mais n'obtient pas de réponse. Elle avait connaissance de son souhait d'accoucher si possible sans péridurale. Elle nous a donc proposé une solution "intermédiaire", une péridurale que Julie pourrait doser elle-même avec un bouton. Cela évite les désagréments de la péridurale "classique" qui diffuse continuellement une dose élevée d'anesthésiant.
Encore fallait-il trouver une salle d'accouchement. Toutes étaient prises. La situation d'encombrement qui nous avait été signalée ce matin même était bien une réalité. A la dernière minute, une femme qui venait pour un monitoring de contrôle a été priée de patienter pour nous laisser la chambre. Quand elle a vue Julie, elle a effectivement dit qu'elle n'en était pas à ce stade ;-)
L'anesthésiste est arrivée rapidement. Il m'a été demandé de sortir pour la pose de la péridurale. Cela a pris une vingtaine de minute. Au retour, j'ai vu que Julie était soulagée. Elle avait retrouvée une expression de visage normale même si elle était fatiguée. Et pour tout dire, moi aussi j'étais soulagé...
La sage femme a ensuite effectué un contrôle pour vérifier la situation de l'utérus. Verdict : ouvert à huit... C'est à dire presque totalement. Julie est passé d'un col long fermé à une ouverture de huit en 5 heures environ... alors que traditionnellement cela aurait dû prendre 12 heures. Voilà qui explique l'intensité des douleurs.
Suite au prochain épisode...
Bises à tous
Le temps passe jusqu'au prochain monitoring. On redescend une nouvelle fois en salle d'accouchement. Le graphique montre bien les contractions mais elles manquent encore de régularité et d'intensité. La sage femme nous rassure (ou nous inquiète plutôt) : si le tampon est le plus souvent à efficacité rapide, cela peut prendre jusqu'à deux jours... - soupir - On demande à ce que la sage femme regarde où en est le col, histoire de savoir d'où l'on part. Verdict : à ce moment, le col est long et ouvert à peine à 1. On part donc de rien. Pour information, le travail est terminé quand le col est plat et ouvert à 10. Et en moyenne, il faut compter au moins une heure par unité...
On remonte impatient. Nouveau rendez vous en salle à 16h. Est ce que cela va finir un jour ? On commence à désespérer, le temps se fait long. On y est depuis la nuit de mercredi à jeudi, il est vendredi 11h et le col n'est toujours pas ouvert d'un pouce...
Mais notre souhait va être exaucé. Une demi heure après être remontés, les contractions s'intensifient et deviennent régulières. Et très fréquentes. Alors on essaye de mettre en oeuvre nos cours de préparation à l'accouchement. Surtout la respiration. Julie se débrouille bien. Elle souffre mais semble bien gérer la situation.
Pour le coup, je n'imaginais pas la situation comme cela. Lors des cours de préparation, je m'imaginais en salle d'accouchement avec une sage-femme à nos côtés pour nous soutenir. Mais ce n'est pas le cas. Nous sommes seuls dans notre chambre et Julie commence à souffrir le martyr.
Alors que des contractions normales durent une minute avec une pause de 2-3 minutes environ entre chaque, là il semble que les contractions s'enchaînent sans aucune pause.
Julie n'arrive plus à rester allongée. Elle essaye de prendre une douche. Je l'entends souffrir. En sortant on tente d'essayer différentes positions. Je dis "tenter" car aucune ne permettait d'arranger la situation. Les contractions s'enchaînaient sans répit. Je me souvenais que lors des préparations, la sage femme nous avait dit que si la maman panique ou ne gère plus la douleur, il faut que le papa prenne sa main, la regarde dans les yeux et respire simultanément avec elle. Pour qu'elle se concentre sur la respiration. Pour qu'elle évite de se crisper sur la douleur. Nous le faisons mais j'ai du mal à soutenir son regard. Elle souffre et je ne peux rien pour elle. Ce fut les plus durs moments. Voir sa femme souffrir à ce point fut pour moi une épreuve atroce.
Cela fait trois heures que cette situation dure. Julie ne parle plus. Je la sens presque perdre la boule. Elle répète inlassablement mon nom ou me répète sans cesse dans un sifflement de voix que cela ne va pas... Je me dis que cela fait seulement 3 heures et que potentiellement, cela peut encore en prendre le double. Il faut redescendre, il faut la péridurale, tant pis pour son projet de naissance. Si Julie continue comme cela, elle va finir exténuée et ne sera pas en mesure de faire l'effort final. Dans cette douleur, elle ne profitera pas de ce moment merveilleux.
J'essaye de capter un moment de lucidité. "Il faut prendre la péridurale" lui dis-je. On doit redescendre et la demander. Elle accepte. Encore faut il pouvoir redescendre. Julie a vraiment du mal à marcher. Avec le recul, je me dis que j'aurais du demander de l'aide, un fauteuil roulant par exemple. Mais sur le coup, on se dit que cette douleur est normale (à tort on le verra après) et qu'il faut passer par là.
Je prépare les affaires pour la salle d'accouchement. Cette fois, c'est pour de bon. On ne remontera pas dans cette chambre sans la choupinette !
On redescend péniblement. Et péniblement c'est encore un euphémisme. Je vois encore les regards des gens que l'on croise...
On arrive en salle. On explique la situation à la sage-femme, qui la constate d'elle même. Elle pose des questions à Julie mais n'obtient pas de réponse. Elle avait connaissance de son souhait d'accoucher si possible sans péridurale. Elle nous a donc proposé une solution "intermédiaire", une péridurale que Julie pourrait doser elle-même avec un bouton. Cela évite les désagréments de la péridurale "classique" qui diffuse continuellement une dose élevée d'anesthésiant.
Encore fallait-il trouver une salle d'accouchement. Toutes étaient prises. La situation d'encombrement qui nous avait été signalée ce matin même était bien une réalité. A la dernière minute, une femme qui venait pour un monitoring de contrôle a été priée de patienter pour nous laisser la chambre. Quand elle a vue Julie, elle a effectivement dit qu'elle n'en était pas à ce stade ;-)
L'anesthésiste est arrivée rapidement. Il m'a été demandé de sortir pour la pose de la péridurale. Cela a pris une vingtaine de minute. Au retour, j'ai vu que Julie était soulagée. Elle avait retrouvée une expression de visage normale même si elle était fatiguée. Et pour tout dire, moi aussi j'étais soulagé...
La sage femme a ensuite effectué un contrôle pour vérifier la situation de l'utérus. Verdict : ouvert à huit... C'est à dire presque totalement. Julie est passé d'un col long fermé à une ouverture de huit en 5 heures environ... alors que traditionnellement cela aurait dû prendre 12 heures. Voilà qui explique l'intensité des douleurs.
Vue panoramique de la chambre après la pose de la péridurale.
Suite au prochain épisode...
Bises à tous
samedi 9 août 2014
Apéro du samedi soir
Sans surprises : à gauche boisson du Papa, à droite boisson de la choupinette :-)
vendredi 8 août 2014
Les trois semaines de Pauline
Le temps passe et Pauline souffle les bougies de sa troisième semaine ! Notre petit trésor pèse désormais 3,900 Kg et mesure 54 cm...
mercredi 6 août 2014
Rétrospective : Accouchement acte 2
Le réveil a sonné une heure et demi plus tard. Il est 7h. Où suis je ? Ah oui, je suis rentré à la maison me reposer un peu. Je me prépare et file en vitesse au boulot pour régler mon départ.
Julie m'envoie régulièrement des sms pour me tenir au courant, au cas où. Mais ce matin aucune contraction sérieuse ne se fait sentir.
Tous les détails réglés, je quitte le boulot et je vais à la maternité pour midi. C'est à ce moment que l'on prévient les futurs papys/mamies de l'imminence de l'accouchement :-)
Toute l'après midi se déroule et aucune trace de contraction. Ah si, une, tellement rare que je l'ai prise en photo :
Mais pour que l'on considère que le travail a réellement commencé, il faut que les contractions soient régulières à raison d'une toute les deux/trois minutes... On en est donc encore loin :-)
A 23h le jeudi soir, cela fait presque 22h que Julie a perdu les eaux. On s'oriente donc vers un déclenchement. Lors du monitoring, la sage femme nous indique que nous allons encore patienter jusqu'au matin, qu'il ne sert à rien de la déclencher dans la nuit, sauf à passer un nuit exécrable et à être exténué toute la journée de demain. Rendez vous est pris à 8h le lendemain matin pour un nouveau monitoring et la procédure de déclenchement.
La nuit se passe relativement bien. Comme je voulais passer la nuit sur place, on a pu m'installer un lit accompagnant, au confort sommaire mais suffisant.
A 6h du matin, une sage femme entre dans la chambre et nous réveille. Elle nous indique que notre rendez vous pour le monitoring du matin est avancé à 6h30. En effet de nombreuses admissions ont été effectuées dans la nuit et la salle de naissance risque d'être encombrée. Il est préférable que nous passions avant.
On se prépare en vitesse et nous allons en salle d'accouchement (comme à l'accoutumée dorénavant...)
Sans surprises, le monitoring montre seulement quelques contractions qui se battent en duel. La sage femme prend donc la décision de déclencher. A ce sujet, c'est relativement simple. Il s'agit d'un tampon imbibé d'hormones qui sont chargées de déclencher l'ouverture du col de l'utérus. Ce tampon est placé juste devant le col et la future maman le conserve jusqu'à ce que le col soit ouvert. Cela ne prend que quelques secondes à mettre en place. On nous indique ensuite que les contractions vont débuter et on nous donne rendez vous vers 10h30 pour un nouveau contrôle. On remonte en chambre, et c'est normalement la dernière ligne droite :-)
Suite au prochain épisode...
Bises à tous.
Julie m'envoie régulièrement des sms pour me tenir au courant, au cas où. Mais ce matin aucune contraction sérieuse ne se fait sentir.
Tous les détails réglés, je quitte le boulot et je vais à la maternité pour midi. C'est à ce moment que l'on prévient les futurs papys/mamies de l'imminence de l'accouchement :-)
Toute l'après midi se déroule et aucune trace de contraction. Ah si, une, tellement rare que je l'ai prise en photo :
Mais pour que l'on considère que le travail a réellement commencé, il faut que les contractions soient régulières à raison d'une toute les deux/trois minutes... On en est donc encore loin :-)
A 23h le jeudi soir, cela fait presque 22h que Julie a perdu les eaux. On s'oriente donc vers un déclenchement. Lors du monitoring, la sage femme nous indique que nous allons encore patienter jusqu'au matin, qu'il ne sert à rien de la déclencher dans la nuit, sauf à passer un nuit exécrable et à être exténué toute la journée de demain. Rendez vous est pris à 8h le lendemain matin pour un nouveau monitoring et la procédure de déclenchement.
La nuit se passe relativement bien. Comme je voulais passer la nuit sur place, on a pu m'installer un lit accompagnant, au confort sommaire mais suffisant.
A 6h du matin, une sage femme entre dans la chambre et nous réveille. Elle nous indique que notre rendez vous pour le monitoring du matin est avancé à 6h30. En effet de nombreuses admissions ont été effectuées dans la nuit et la salle de naissance risque d'être encombrée. Il est préférable que nous passions avant.
On se prépare en vitesse et nous allons en salle d'accouchement (comme à l'accoutumée dorénavant...)
Sans surprises, le monitoring montre seulement quelques contractions qui se battent en duel. La sage femme prend donc la décision de déclencher. A ce sujet, c'est relativement simple. Il s'agit d'un tampon imbibé d'hormones qui sont chargées de déclencher l'ouverture du col de l'utérus. Ce tampon est placé juste devant le col et la future maman le conserve jusqu'à ce que le col soit ouvert. Cela ne prend que quelques secondes à mettre en place. On nous indique ensuite que les contractions vont débuter et on nous donne rendez vous vers 10h30 pour un nouveau contrôle. On remonte en chambre, et c'est normalement la dernière ligne droite :-)
Suite au prochain épisode...
Bises à tous.
vendredi 25 juillet 2014
7 jours !
Aujourd'hui, c'est l'anniversaire de la choupinette ! Elle a déjà 7 jours ! Pour fêter cela, on a mangé une part de tarte :-). Pour Pauline, en revanche la diversification alimentaire ce n'est pas pour tout de suite. Alors comme d'habitude on lui a préparé un bib avec amour. Et c'est cela qui lui importe.
Pauline et son papa pendant la sieste
Pauline et son papa pendant la sieste
jeudi 24 juillet 2014
Retrospective : Accouchement acte 1
C'était mercredi dernier. On était parti se coucher assez tard, vers minuit. Il faisait déjà chaud, on avait du mal à trouver le sommeil.
A une heure du mat', Julie se lève et me lance, d'une voie morne : "Julien, je crois que je perds les eaux".
Au départ, le doute que j'avais décelé dans sa voix faisait que je n'y croyait pas vraiment, je me disais que c'était un genre de pertes, enfin tous ces trucs annexes qui gravitent autour de la vie d'une femme enceinte. Sauf que Julie est entrée dans la baignoire et à la vue de la petite flaque rosâtre, il n'y avait maintenant plus de doutes...
C'est alors que dans mon esprit embrumé s'est déroulé à la vitesse de la lumière toutes les conséquences à court terme... "Julie, là ce n'est vraiment pas le moment..." lui ai-je dit, comme ci cela pouvait changer quelque chose (il faut se souvenir que j'étais fatigué...)
En effet, c'était 15 jours avant le terme prévu, on avait dormi seulement 1h, j'avais le lendemain matin un rendez vous ultra important avec mon N+3 et un travail à finir avant mes congés.
On a quand même appelé la maternité pour savoir quoi faire. Le message a été clair : il fallait se préparer, sans précipitation, manger un peu et venir à la maternité. Une poche des eaux rompue, c'est un milieux qui n'est plus stérile pour le bébé. Cela sonne donc le moment de l'accouchement, qu'il soit naturel ou provoqué (dans les 24h).
Nous avons donc complété nos valises, avons déposé notre petit Gnoki chez les parents de Julie et nous avons pris la route pour la maternité, vers 2h30 du matin.
Je me souviendrais toute ma vie de ce trajet. Hors du temps, sur l'autoroute vide, dans la nuit tombée, on roulait en sachant qu'on reviendrait forcément différents. Non plus à deux mais à trois.
Nous sommes arrivés au CMCO, désert. Nous voilà dorénavant devant les portes de la maternité. Nous sonnons et attendons quelques instants devant la double porte qu'une sage femme vienne nous ouvrir. Là encore, c'est derrière cette double porte que notre vie va changer.
Il y a très peu d'activité dans la salle de naissance et on nous installe dans une des 12 chambres d'accouchement. On arnache Julie de capteurs qui enregistrent la fréquence cardiaque de la choupinette et les contractions de la maman. Le petit coeur de la choup's était parfait et aucune contraction n'était signalée.
La sage-femme a également posé une voie pour administrer des antibiotiques en prévision de l'accouchement. (Cf photo ci-dessous)
Ceci fait et deux heures ayant passé, on nous a conduit dans la chambre de la maternité, pour attendre les contractions. Si dans 24h elles ne sont toujours pas au rendez-vous, l'accouchement sera déclenché.
Julie s'est donc installée dans la chambre. Pour ma part, il était 5h du matin, je suis donc rentré dormir à la maison. Cela m'a permis de dormir 2 heures pour ensuite aller au boulot la matinée afin de régler les derniers détails avant mon départ en congés.
Suite au prochain épisode...
Bises à vous
A une heure du mat', Julie se lève et me lance, d'une voie morne : "Julien, je crois que je perds les eaux".
Au départ, le doute que j'avais décelé dans sa voix faisait que je n'y croyait pas vraiment, je me disais que c'était un genre de pertes, enfin tous ces trucs annexes qui gravitent autour de la vie d'une femme enceinte. Sauf que Julie est entrée dans la baignoire et à la vue de la petite flaque rosâtre, il n'y avait maintenant plus de doutes...
C'est alors que dans mon esprit embrumé s'est déroulé à la vitesse de la lumière toutes les conséquences à court terme... "Julie, là ce n'est vraiment pas le moment..." lui ai-je dit, comme ci cela pouvait changer quelque chose (il faut se souvenir que j'étais fatigué...)
En effet, c'était 15 jours avant le terme prévu, on avait dormi seulement 1h, j'avais le lendemain matin un rendez vous ultra important avec mon N+3 et un travail à finir avant mes congés.
On a quand même appelé la maternité pour savoir quoi faire. Le message a été clair : il fallait se préparer, sans précipitation, manger un peu et venir à la maternité. Une poche des eaux rompue, c'est un milieux qui n'est plus stérile pour le bébé. Cela sonne donc le moment de l'accouchement, qu'il soit naturel ou provoqué (dans les 24h).
Nous avons donc complété nos valises, avons déposé notre petit Gnoki chez les parents de Julie et nous avons pris la route pour la maternité, vers 2h30 du matin.
Je me souviendrais toute ma vie de ce trajet. Hors du temps, sur l'autoroute vide, dans la nuit tombée, on roulait en sachant qu'on reviendrait forcément différents. Non plus à deux mais à trois.
Nous sommes arrivés au CMCO, désert. Nous voilà dorénavant devant les portes de la maternité. Nous sonnons et attendons quelques instants devant la double porte qu'une sage femme vienne nous ouvrir. Là encore, c'est derrière cette double porte que notre vie va changer.
Il y a très peu d'activité dans la salle de naissance et on nous installe dans une des 12 chambres d'accouchement. On arnache Julie de capteurs qui enregistrent la fréquence cardiaque de la choupinette et les contractions de la maman. Le petit coeur de la choup's était parfait et aucune contraction n'était signalée.
La sage-femme a également posé une voie pour administrer des antibiotiques en prévision de l'accouchement. (Cf photo ci-dessous)
Ceci fait et deux heures ayant passé, on nous a conduit dans la chambre de la maternité, pour attendre les contractions. Si dans 24h elles ne sont toujours pas au rendez-vous, l'accouchement sera déclenché.
Julie s'est donc installée dans la chambre. Pour ma part, il était 5h du matin, je suis donc rentré dormir à la maison. Cela m'a permis de dormir 2 heures pour ensuite aller au boulot la matinée afin de régler les derniers détails avant mon départ en congés.
Suite au prochain épisode...
Bises à vous
Les sangles du monitoring avec la voie pour les antibiotiques...
mardi 22 juillet 2014
La petite cigogne est passée !
C'est avec une immense émotion que l'on vous annonce que notre choupinette tant attendue est venue au monde. Elle se prénomme Pauline et elle est est née le 18 juillet 2014 à 15h51 au CMCO de Schiltigheim. Elle mesure 49 cm et pèse 3,230 kg.
On est ravi et tout le monde se porte merveilleusement bien. Nous vous raconterons dans de prochains posts les détails de ce grand moment pour nous.
Pour l'instant je vous laisse car Pauline commence à se réveiller, mais pour patienter voici une petite photo de notre trésor :
On est ravi et tout le monde se porte merveilleusement bien. Nous vous raconterons dans de prochains posts les détails de ce grand moment pour nous.
Pour l'instant je vous laisse car Pauline commence à se réveiller, mais pour patienter voici une petite photo de notre trésor :
mardi 15 juillet 2014
37ème semaine :)
Hier, nous sommes entrés dans la 37ème semaine de grossesse. Ce qui signifie que c'est la dernière ligne droite ! Plus que deux semaines avant le terme...
Ceci dit la choupinette pourrait arriver plus tôt, selon son bon vouloir... Alors pour ma part je suis passé en mode connecté, le portable toujours à portée de main. Au boulot, sur mon vélo, en réunion, au ... Bref, partout :)
Bises à vous,
Ceci dit la choupinette pourrait arriver plus tôt, selon son bon vouloir... Alors pour ma part je suis passé en mode connecté, le portable toujours à portée de main. Au boulot, sur mon vélo, en réunion, au ... Bref, partout :)
Bises à vous,
dimanche 13 juillet 2014
dimanche 6 juillet 2014
Le CMCO
Sur Strasbourg, les mamans ont la chance d'avoir le choix pour le lieu de leur accouchement. Il existe un certain nombre d'établissement pour le plus beau jour de leur vie (qui est peut être aussi le plus angoissant).
De notre côté, Julie a fait le choix du CMCO (Centre médico-chirurgical obstétrical). Il s'agit d'un établissement public à la pointe sur ce domaine. Une amie ayant déjà accouché à cet endroit, on avait déjà pu juger de la qualité du centre. Tout neuf, tout beau, à la pointe !
Pour les futures mamans, les différents hôpitaux et cliniques organisent des visites de leurs locaux pour les aider dans leur choix. Du coup, on a fait la visite pour se conforter. Image à l'appui :
Pour le stationnement, il y a un parking visiteur, aucun problème à ce niveau. Et à côté du centre il y a un joli petit parc pour se promener... Que demander de plus ???
Moi de mon côté j'ai mémorisé le chemin le plus court pour y accéder ;) Histoire d'éviter de se tromper de direction le jour J, car j'imagine qu'il faudra éviter de contrarier la future maman à ce moment là ;)
Sur ce, rendez vous dans moins d'un mois :)
Bises à tous
De notre côté, Julie a fait le choix du CMCO (Centre médico-chirurgical obstétrical). Il s'agit d'un établissement public à la pointe sur ce domaine. Une amie ayant déjà accouché à cet endroit, on avait déjà pu juger de la qualité du centre. Tout neuf, tout beau, à la pointe !
Pour les futures mamans, les différents hôpitaux et cliniques organisent des visites de leurs locaux pour les aider dans leur choix. Du coup, on a fait la visite pour se conforter. Image à l'appui :
Le CMCO est situé à 10 km environ de notre appartement.
Un centre moderne.
Complet ;)
Nickel chrome !
Pour le stationnement, il y a un parking visiteur, aucun problème à ce niveau. Et à côté du centre il y a un joli petit parc pour se promener... Que demander de plus ???
Moi de mon côté j'ai mémorisé le chemin le plus court pour y accéder ;) Histoire d'éviter de se tromper de direction le jour J, car j'imagine qu'il faudra éviter de contrarier la future maman à ce moment là ;)
Sur ce, rendez vous dans moins d'un mois :)
Bises à tous
jeudi 3 juillet 2014
Août ? Juillet ?
A l'issue d'une visite de contrôle chez une sage femme, l’échographie a confirmé nos doute sur les calculs du terme.
Initialement, la choupinette devait arriver pour le 03/08/2014. Oui mais, en rétroactif, cela ne collait pas avec la potentielle date de conception (on est quand même bien placé pour le savoir).
On avait déjà exprimé nos doutes à la gynéco. Sauf que les calculs sont les calculs et cela avait été confirmé par les premières échos. Alors on avait accepté cette date sans vraiment y croire.
Une visite de contrôle chez une sage femme a mis la lumière définitivement sur la chose : le terme échographique est prévu pour le 29 juillet. Voilà une date qui nous convient mieux :)
On pourrait se dire que cela ne change rien. Effectivement, 5 jours de plus ou de moins... Oui mais il ne faut pas oublier que cela fait bientôt 9 mois qu'on attend... Alors on est un peu impatient ;)
Bises
Initialement, la choupinette devait arriver pour le 03/08/2014. Oui mais, en rétroactif, cela ne collait pas avec la potentielle date de conception (on est quand même bien placé pour le savoir).
On avait déjà exprimé nos doutes à la gynéco. Sauf que les calculs sont les calculs et cela avait été confirmé par les premières échos. Alors on avait accepté cette date sans vraiment y croire.
Une visite de contrôle chez une sage femme a mis la lumière définitivement sur la chose : le terme échographique est prévu pour le 29 juillet. Voilà une date qui nous convient mieux :)
On pourrait se dire que cela ne change rien. Effectivement, 5 jours de plus ou de moins... Oui mais il ne faut pas oublier que cela fait bientôt 9 mois qu'on attend... Alors on est un peu impatient ;)
Bises
mardi 1 juillet 2014
Liste de naissance
On nous a indiqué que beaucoup de jeunes parents reçoivent des présents en double à l'occasion de la naissance. La traditionnelle liste de naissance nous a semblé un bon moyen de permettre à ceux qui souhaitent participer d'offrir un cadeau qui ne soit pas déjà dans la commode de la choupinette.
On a donc ouvert une liste chez bébé neuf dont voici le lien :
http://www.bebe9.com/babylist/shared/index/code/fc14faf0624fc9b04fa21f20ebd95f41/
Warning ! On préfère prévenir pour vous éviter une crise cardiaque ;) Les prix sont élevés. Ça nous a fait la même impression lorsque l'on a déambulé pour la première fois dans un magasin bébé. Ceci dit, il n'est pas tenu - si l'on veut participer - d'acheter un objet complet. Il est possible de verser une participation d'un montant donné sur la liste. Cela nous a paru pratique :)
Bises à vous, de la part de la maman, du papa et de la choupinette ;)
On a donc ouvert une liste chez bébé neuf dont voici le lien :
http://www.bebe9.com/babylist/shared/index/code/fc14faf0624fc9b04fa21f20ebd95f41/
Warning ! On préfère prévenir pour vous éviter une crise cardiaque ;) Les prix sont élevés. Ça nous a fait la même impression lorsque l'on a déambulé pour la première fois dans un magasin bébé. Ceci dit, il n'est pas tenu - si l'on veut participer - d'acheter un objet complet. Il est possible de verser une participation d'un montant donné sur la liste. Cela nous a paru pratique :)
Bises à vous, de la part de la maman, du papa et de la choupinette ;)
lundi 30 juin 2014
La chambre - épisode 3 (le lit)
Il nous restait cette dernière étape, le lit, avant que la chambre ne soit fin prête à accueillir la choupinette. Et bien c'est chose faite !
On a acheté le lit et le matelas chez nos amis Suédois. Pour le lit, ce n'était pas difficile. On a trouvé rapidement. Par contre grosse incertitude pour le matelas. Comme d'habitude, les démons du marketing on bien choisi leur cible. En mousse, en ressort ou en latex ? En coton, polyester ou en tige de bambou bio ? Le choix était vaste. Finalement on a opté pour le même type de matelas que le notre : en ressort de bonne qualité. Le latex semblait trop dur, la mousse trop molle (hummm oui c'est compliqué la vie de futurs parents)
Bref le lieu où la choupinette va passer ses premières nuit est prêt. En penchant ma tête par dessus ce lit, l'image devient plus concrète. Il ne manque plus que la choupinette, ici, là, à cet endroit précis... dans un mois environ...
Pour ceux qui auront remarqué, et oui, les stickers ont un peu changé de place. On trouvait qu'initialement, cela faisait trop chargé, alors on a espacé !
On a acheté le lit et le matelas chez nos amis Suédois. Pour le lit, ce n'était pas difficile. On a trouvé rapidement. Par contre grosse incertitude pour le matelas. Comme d'habitude, les démons du marketing on bien choisi leur cible. En mousse, en ressort ou en latex ? En coton, polyester ou en tige de bambou bio ? Le choix était vaste. Finalement on a opté pour le même type de matelas que le notre : en ressort de bonne qualité. Le latex semblait trop dur, la mousse trop molle (hummm oui c'est compliqué la vie de futurs parents)
Bref le lieu où la choupinette va passer ses premières nuit est prêt. En penchant ma tête par dessus ce lit, l'image devient plus concrète. Il ne manque plus que la choupinette, ici, là, à cet endroit précis... dans un mois environ...
Pour ceux qui auront remarqué, et oui, les stickers ont un peu changé de place. On trouvait qu'initialement, cela faisait trop chargé, alors on a espacé !
mercredi 25 juin 2014
La future maman à 8 mois et demi
Au détour d'une petite ballade à Kehl en Allemagne, quelques photos de la jolie maman. La petite choupinette prend de plus en plus de place, tellement qu'elle commence certainement à être à l'étroit là où elle est :) Bientôt la fin, qui n'annonce que le début !
dimanche 22 juin 2014
Table à langer : la décoration finale.
La table à langer est sur pied. Certes. Mais il manquait le point final, l'ultime étape, la cerise sur le gâteau : la décoration.
Pour éviter à la petite choupinette de passer ses premières nuits dans des effluves de peinture fraîche, nous avons opté pour des stickers. Moins cher que de la peinture, plus rapide à mettre en place et en plus assortis au matelas à langer, bref tout bénef !
Mais trêve de bavardages, place aux images :
Pour éviter à la petite choupinette de passer ses premières nuits dans des effluves de peinture fraîche, nous avons opté pour des stickers. Moins cher que de la peinture, plus rapide à mettre en place et en plus assortis au matelas à langer, bref tout bénef !
Mais trêve de bavardages, place aux images :
Vue du poste de pilotage ;)
mardi 17 juin 2014
Installation du cosy
La semaine dernière, un collègue m'averti : est-ce que tu t'es entraîné à l'installation du cosy dans la voiture ? Car ce n'est pas forcément évident...
Effectivement c'est juste. Si je me suis entraîné pour l'installation des chaînes pour les sports d'hiver, il n'y a pas de raison pour que cela n'en soit pas de même pour le cosy.
D'autant plus qu'il faut imaginer la pire des situations : à la sortie de la maternité, se battre avec le cosy pendant que la maman fatiguée poireaute sous la pluie la petite dans les bras ? Non non, il ne vaut mieux pas.
Donc le week end dernier, on a profité du beau temps pour étudier le système et le mettre en place :
Effectivement c'est juste. Si je me suis entraîné pour l'installation des chaînes pour les sports d'hiver, il n'y a pas de raison pour que cela n'en soit pas de même pour le cosy.
D'autant plus qu'il faut imaginer la pire des situations : à la sortie de la maternité, se battre avec le cosy pendant que la maman fatiguée poireaute sous la pluie la petite dans les bras ? Non non, il ne vaut mieux pas.
Donc le week end dernier, on a profité du beau temps pour étudier le système et le mettre en place :
Première option : parallèle à la banquette
Deuxième option : dos à la route
Avec le coup de main, cela n'est pas sorcier. Mais c'est ni rapide à installer ni vraiment stable tout ça. Du coup Julie est allée se renseigner au magasin pour vérifier si c'est juste une impression ou simplement que l'on s'y est mal pris. Résultat : c'est normal. On nous indique que pour plus de stabilité et de praticité, il faut se procurer la base isofix qui reste fixée au siège. (le cosy se clipse dessus). Sauf que bien entendu, cela n'est pas gratuit : 220 euros... Rien que ça.
Initialement, lorsque vous achetez un système de poussette trois en un, le vendeur met bien en avant l'argument de l'installation dans la voiture... Mais bien entendu on ne vous dit pas que ça va être bancal et qu'il vous faudra payer un accessoire supplémentaire... au prix fort. Les futurs parent sont des vaches à lait pour ce marché.
Bref, du coup on va regarder si on ne peut pas en trouver une d'occasion. On veut quand même avoir l'esprit tranquille en voiture en évitant d'y laisser trop de plumes.
Suite au prochain épisode...
Suite au prochain épisode...
Bises
jeudi 12 juin 2014
Mode de garde - Episode 3
Et ce troisième épisode sera le dernier de la série !
Et oui, car c'est avec soulagement que nous vous annonçons que nous avons trouvé LA nounou de la choupinette. La nounou avec un grand "N".
Bon, ce ne fut pas chose facile.
La dernière que nous avions rencontré (et dont je parlais dans un précédent blog), était bien mais il y avait encore quelques détails qui nous gênaient (dont le fait qu'elle soit en libéral, et donc hors de toute structure)
Nous avons donc continué les recherches.
Et là, une directrice de crèche familiale nous a conseillé Mme Laurence. V
Seul bémol et pas des moindres, elle n'était pas disponible avant le premier janvier 2015 !
Néanmoins, au téléphone elle a fait bonne impression à Julie. On a donc décidé de la rencontrer quand même.
Et là, on est tombé tous les deux d'accord. Si la choupinette devait aller chez une assistante maternelle, ce devait être celle là. Cette dame est expérimentée mais jeune, très douce, attentive et respectueuse. Elle apparaît dynamique et sera attentive à l'éveil des enfants, via des jeux, sorties et autres activités. Surtout, elle est à l'écoute de nos souhaits, de nos attentes et de ceux des enfants qu'elle garde. En résumé, cela nous semble être une personne de confiance.
Restait le détail de la disponibilité. Techniquement et règlementairement, Laurence (appelons la par son prénom) dispose d'une place de libre. Mais au vu de règles liées à la crèche familiale dont elle dépend, la directrice souhaitait que deux des enfants dont elle a la garde soient en âge de marcher. Cela n'est pas le cas pour l'instant, mais ça le sera très certainement dès cet été.
Julie ne pouvant pas prendre de congé parental pour patienter jusqu'en janvier de l'année prochaine, nous avons donc fait un lobbying intense auprès de cette directrice pour qu'elle accepte d'avancer la date.
Finalement, la directrice a accepté un début de période d'adaptation mi novembre. Ce qui fait qu'en prenant chacun deux semaines de congés, on tiendra jusque là.
Et on a la nounou de la choupinette !
Voilà un gros problème de réglé.
Et oui, car c'est avec soulagement que nous vous annonçons que nous avons trouvé LA nounou de la choupinette. La nounou avec un grand "N".
Bon, ce ne fut pas chose facile.
La dernière que nous avions rencontré (et dont je parlais dans un précédent blog), était bien mais il y avait encore quelques détails qui nous gênaient (dont le fait qu'elle soit en libéral, et donc hors de toute structure)
Nous avons donc continué les recherches.
Et là, une directrice de crèche familiale nous a conseillé Mme Laurence. V
Seul bémol et pas des moindres, elle n'était pas disponible avant le premier janvier 2015 !
Néanmoins, au téléphone elle a fait bonne impression à Julie. On a donc décidé de la rencontrer quand même.
Et là, on est tombé tous les deux d'accord. Si la choupinette devait aller chez une assistante maternelle, ce devait être celle là. Cette dame est expérimentée mais jeune, très douce, attentive et respectueuse. Elle apparaît dynamique et sera attentive à l'éveil des enfants, via des jeux, sorties et autres activités. Surtout, elle est à l'écoute de nos souhaits, de nos attentes et de ceux des enfants qu'elle garde. En résumé, cela nous semble être une personne de confiance.
Restait le détail de la disponibilité. Techniquement et règlementairement, Laurence (appelons la par son prénom) dispose d'une place de libre. Mais au vu de règles liées à la crèche familiale dont elle dépend, la directrice souhaitait que deux des enfants dont elle a la garde soient en âge de marcher. Cela n'est pas le cas pour l'instant, mais ça le sera très certainement dès cet été.
Julie ne pouvant pas prendre de congé parental pour patienter jusqu'en janvier de l'année prochaine, nous avons donc fait un lobbying intense auprès de cette directrice pour qu'elle accepte d'avancer la date.
Finalement, la directrice a accepté un début de période d'adaptation mi novembre. Ce qui fait qu'en prenant chacun deux semaines de congés, on tiendra jusque là.
Et on a la nounou de la choupinette !
Voilà un gros problème de réglé.
lundi 9 juin 2014
Et une envie... Une !
Un samedi soir, à 19h, Julie a eu envie de ça :
Salade d'avocat au pamplemousse, crevettes rose.
Bien entendu, on avait aucun des ingrédients nécessaires. Alors on a été au Leclerc du centre ville. Il faut bien comprendre qu'un samedi précédent le lundi de pentecôte, à 19h, il faut vraiment être maso pour mettre un pied au supermarché de Rivetoile. Ou avoir une envie irrépréssible de femme enceinte ;)
Donc on a été se mêler à la foule pour récupérer crevettes, avocats et pamplemousse. Finalement, on s'en est bien sorti avec notre organisation : un de nous deux a fait la queue, l'autre a été cherché les articles.
Retour à l'appart, quelques minutes de préparation à deux, et voici le résultat :
Pour conclure, c'était délicieux. Il n'y a donc pas que la futur maman qui a apprécié ;)
Bises à vous,
samedi 7 juin 2014
La future maman... au 8ème mois
On a profité du beau temps pour faire quelques photos au parc de l'orangerie :)
Bises à vous,
mardi 3 juin 2014
Troisième (et dernière) échographie !
Et voilà que nous avons passé la troisième échographie tant attendue :)
Il faut dire que j'étais impatient de voir si l'on allait pouvoir apercevoir le visage de la choupinette avec plus de détails que lors de la précédente écho.
Sur ce point, il faut dire que l'on est loin de la photographie numérique. Il faut un peu d'imagination pour distinguer les traits de la jolie choupinette :
De nos jours, j'eus pensé que l'on aurait pu faire mieux en termes d'imagerie mais bon... On va dire que c'est pour préserver le suspens ;)
Sinon le plus important, c'est que le petit bout de chou se développe bien ! Elle est dans les courbes.
Son poids (estimé) à aujourd'hui est de 1,535 Kg...
Elle est toujours placée la tête en bas avec le corps tout plié en deux (souple, la choupinette, pas comme son père pour le coup). A ce stade de la grossesse, la petite ne se retournera plus, elle donc dans la bonne position pour l'accouchement.
Comme pour la deuxième écho, la gynéco a vérifié tous ses petits organes en formation. Everything's ok !
Bon je ne vous mets pas toutes les photos, car il faut bien être du métier pour y distinguer quelques chose :)
Et voilà, c'est la dernière ligne droite, naissance prévue dans deux mois :)
Il faut dire que j'étais impatient de voir si l'on allait pouvoir apercevoir le visage de la choupinette avec plus de détails que lors de la précédente écho.
Sur ce point, il faut dire que l'on est loin de la photographie numérique. Il faut un peu d'imagination pour distinguer les traits de la jolie choupinette :
De nos jours, j'eus pensé que l'on aurait pu faire mieux en termes d'imagerie mais bon... On va dire que c'est pour préserver le suspens ;)
Sinon le plus important, c'est que le petit bout de chou se développe bien ! Elle est dans les courbes.
Son poids (estimé) à aujourd'hui est de 1,535 Kg...
Elle est toujours placée la tête en bas avec le corps tout plié en deux (souple, la choupinette, pas comme son père pour le coup). A ce stade de la grossesse, la petite ne se retournera plus, elle donc dans la bonne position pour l'accouchement.
Comme pour la deuxième écho, la gynéco a vérifié tous ses petits organes en formation. Everything's ok !
Bon je ne vous mets pas toutes les photos, car il faut bien être du métier pour y distinguer quelques chose :)
Sa colonne vertébrale
Son petit nez, vu du dessous
Et voilà, c'est la dernière ligne droite, naissance prévue dans deux mois :)
samedi 31 mai 2014
Dressing de la choupinette
Choup's fashionista
Vu que l'on commence à avoir un petit nombre de vêtements pour préparer l'arrivée de la choupinette, on a organisé son petit dressing dans le premier tiroir de la table à langer :)
mercredi 28 mai 2014
Mode de garde : Episode 2
Le premier stress de notre situation de futurs parents : le mode de garde !
Nous ne rentrons pas dans les critères d'admissibilité pour obtenir une place en crêche, nous sommes donc priés par la municipalité de... nous débrouiller !
Alors la seule option qu'il nous reste est de trouver une bonne "Nounou". Autrement dit : une assistante maternelle.
Oui mais là, l'enjeu, c'est d'en trouver une qui remplisse nos critères de futurs parents angoissés. Et là cela se complique. Imaginez qu'en plus, le boulot de Julie, c'est de donner l'agrément à ces gens !
On a donc rencontré en une semaine trois personnes. La première considérait les enfants comme une marchandise, elle parlait de "gosses", et avait l'air d'une rigidité sans commune mesure... La deuxième habitait au coeur du "quartier" (à la déposer ici tous les matins, j'aurais déprimé...) et son français laissait à désirer. La troisième avait un discours "parfait" sur le papier, mais des détails clochaient.. Ne fumait pas, mais sentait la fumée, ne regardait pas la TV, mais la TV était énorme et devant le tapis de jeu, etc... Et pour compléter le tableau, son visage n'inspirait pas la confiance... Bref je ne la sentais pas.
Du coup... GROSSE PANIQUE.
On ne se voyait pas laisser rien qu'une matinée, notre fille avec ces gens... Impossible.
Et là, on a rencontré une assistante maternelle qui habite dans un quartier sympa, pas très loin de chez nous. Une femme assez jeune de 40-45 ans, avec deux filles. Elles étaient présentes durant notre entretien et voir cette dame s'occuper de ses propres enfants (qui ont la joie de vivre) nous a rassuré. Elle parle français correctement, apparaît douce, calme et patiente. Seule défault. Son prix. Mais bon on ne va pas chipoter. La tranquillité d'esprit n'a pas de prix.
On continue néanmoins de chercher. Histoire d'être sûr. Parce que s'il y a une chose dont on est certain, c'est qu'on ne veut pas se tromper.
Nous ne rentrons pas dans les critères d'admissibilité pour obtenir une place en crêche, nous sommes donc priés par la municipalité de... nous débrouiller !
Alors la seule option qu'il nous reste est de trouver une bonne "Nounou". Autrement dit : une assistante maternelle.
Oui mais là, l'enjeu, c'est d'en trouver une qui remplisse nos critères de futurs parents angoissés. Et là cela se complique. Imaginez qu'en plus, le boulot de Julie, c'est de donner l'agrément à ces gens !
On a donc rencontré en une semaine trois personnes. La première considérait les enfants comme une marchandise, elle parlait de "gosses", et avait l'air d'une rigidité sans commune mesure... La deuxième habitait au coeur du "quartier" (à la déposer ici tous les matins, j'aurais déprimé...) et son français laissait à désirer. La troisième avait un discours "parfait" sur le papier, mais des détails clochaient.. Ne fumait pas, mais sentait la fumée, ne regardait pas la TV, mais la TV était énorme et devant le tapis de jeu, etc... Et pour compléter le tableau, son visage n'inspirait pas la confiance... Bref je ne la sentais pas.
Du coup... GROSSE PANIQUE.
On ne se voyait pas laisser rien qu'une matinée, notre fille avec ces gens... Impossible.
Et là, on a rencontré une assistante maternelle qui habite dans un quartier sympa, pas très loin de chez nous. Une femme assez jeune de 40-45 ans, avec deux filles. Elles étaient présentes durant notre entretien et voir cette dame s'occuper de ses propres enfants (qui ont la joie de vivre) nous a rassuré. Elle parle français correctement, apparaît douce, calme et patiente. Seule défault. Son prix. Mais bon on ne va pas chipoter. La tranquillité d'esprit n'a pas de prix.
On continue néanmoins de chercher. Histoire d'être sûr. Parce que s'il y a une chose dont on est certain, c'est qu'on ne veut pas se tromper.
lundi 26 mai 2014
29ème semaine de grossesse...
Les puristes parleront de la 31ème semaine d'aménorrhées (fin des dernières règles). Lors de notre dernière visite de contrôle chez la gynéco, celle-ci nous à indiqué que la petite choupinette avait la tête en bas... Pour patienter jusqu'à la troisième (et dernière) échographie, petite image pour illustrer :
29ème semaine
Par cette position, la choupinette fait pression sur le périnée de la Maman (ce qui semble être désagréable). Pour alléger cette pression, la Maman est obligée de rester le plus possible allongée...
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