Le premier stress de notre situation de futurs parents : le mode de garde !
Nous ne rentrons pas dans les critères d'admissibilité pour obtenir une place en crêche, nous sommes donc priés par la municipalité de... nous débrouiller !
Alors la seule option qu'il nous reste est de trouver une bonne "Nounou". Autrement dit : une assistante maternelle.
Oui mais là, l'enjeu, c'est d'en trouver une qui remplisse nos critères de futurs parents angoissés. Et là cela se complique. Imaginez qu'en plus, le boulot de Julie, c'est de donner l'agrément à ces gens !
On a donc rencontré en une semaine trois personnes. La première considérait les enfants comme une marchandise, elle parlait de "gosses", et avait l'air d'une rigidité sans commune mesure... La deuxième habitait au coeur du "quartier" (à la déposer ici tous les matins, j'aurais déprimé...) et son français laissait à désirer. La troisième avait un discours "parfait" sur le papier, mais des détails clochaient.. Ne fumait pas, mais sentait la fumée, ne regardait pas la TV, mais la TV était énorme et devant le tapis de jeu, etc... Et pour compléter le tableau, son visage n'inspirait pas la confiance... Bref je ne la sentais pas.
Du coup... GROSSE PANIQUE.
On ne se voyait pas laisser rien qu'une matinée, notre fille avec ces gens... Impossible.
Et là, on a rencontré une assistante maternelle qui habite dans un quartier sympa, pas très loin de chez nous. Une femme assez jeune de 40-45 ans, avec deux filles. Elles étaient présentes durant notre entretien et voir cette dame s'occuper de ses propres enfants (qui ont la joie de vivre) nous a rassuré. Elle parle français correctement, apparaît douce, calme et patiente. Seule défault. Son prix. Mais bon on ne va pas chipoter. La tranquillité d'esprit n'a pas de prix.
On continue néanmoins de chercher. Histoire d'être sûr. Parce que s'il y a une chose dont on est certain, c'est qu'on ne veut pas se tromper.
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