Choup's fashionista
Vu que l'on commence à avoir un petit nombre de vêtements pour préparer l'arrivée de la choupinette, on a organisé son petit dressing dans le premier tiroir de la table à langer :)
samedi 31 mai 2014
Dressing de la choupinette
Vu que l'on commence à avoir un petit nombre de vêtements pour préparer l'arrivée de la choupinette, on a organisé son petit dressing dans le premier tiroir de la table à langer :)
mercredi 28 mai 2014
Mode de garde : Episode 2
Le premier stress de notre situation de futurs parents : le mode de garde !
Nous ne rentrons pas dans les critères d'admissibilité pour obtenir une place en crêche, nous sommes donc priés par la municipalité de... nous débrouiller !
Alors la seule option qu'il nous reste est de trouver une bonne "Nounou". Autrement dit : une assistante maternelle.
Oui mais là, l'enjeu, c'est d'en trouver une qui remplisse nos critères de futurs parents angoissés. Et là cela se complique. Imaginez qu'en plus, le boulot de Julie, c'est de donner l'agrément à ces gens !
On a donc rencontré en une semaine trois personnes. La première considérait les enfants comme une marchandise, elle parlait de "gosses", et avait l'air d'une rigidité sans commune mesure... La deuxième habitait au coeur du "quartier" (à la déposer ici tous les matins, j'aurais déprimé...) et son français laissait à désirer. La troisième avait un discours "parfait" sur le papier, mais des détails clochaient.. Ne fumait pas, mais sentait la fumée, ne regardait pas la TV, mais la TV était énorme et devant le tapis de jeu, etc... Et pour compléter le tableau, son visage n'inspirait pas la confiance... Bref je ne la sentais pas.
Du coup... GROSSE PANIQUE.
On ne se voyait pas laisser rien qu'une matinée, notre fille avec ces gens... Impossible.
Et là, on a rencontré une assistante maternelle qui habite dans un quartier sympa, pas très loin de chez nous. Une femme assez jeune de 40-45 ans, avec deux filles. Elles étaient présentes durant notre entretien et voir cette dame s'occuper de ses propres enfants (qui ont la joie de vivre) nous a rassuré. Elle parle français correctement, apparaît douce, calme et patiente. Seule défault. Son prix. Mais bon on ne va pas chipoter. La tranquillité d'esprit n'a pas de prix.
On continue néanmoins de chercher. Histoire d'être sûr. Parce que s'il y a une chose dont on est certain, c'est qu'on ne veut pas se tromper.
Nous ne rentrons pas dans les critères d'admissibilité pour obtenir une place en crêche, nous sommes donc priés par la municipalité de... nous débrouiller !
Alors la seule option qu'il nous reste est de trouver une bonne "Nounou". Autrement dit : une assistante maternelle.
Oui mais là, l'enjeu, c'est d'en trouver une qui remplisse nos critères de futurs parents angoissés. Et là cela se complique. Imaginez qu'en plus, le boulot de Julie, c'est de donner l'agrément à ces gens !
On a donc rencontré en une semaine trois personnes. La première considérait les enfants comme une marchandise, elle parlait de "gosses", et avait l'air d'une rigidité sans commune mesure... La deuxième habitait au coeur du "quartier" (à la déposer ici tous les matins, j'aurais déprimé...) et son français laissait à désirer. La troisième avait un discours "parfait" sur le papier, mais des détails clochaient.. Ne fumait pas, mais sentait la fumée, ne regardait pas la TV, mais la TV était énorme et devant le tapis de jeu, etc... Et pour compléter le tableau, son visage n'inspirait pas la confiance... Bref je ne la sentais pas.
Du coup... GROSSE PANIQUE.
On ne se voyait pas laisser rien qu'une matinée, notre fille avec ces gens... Impossible.
Et là, on a rencontré une assistante maternelle qui habite dans un quartier sympa, pas très loin de chez nous. Une femme assez jeune de 40-45 ans, avec deux filles. Elles étaient présentes durant notre entretien et voir cette dame s'occuper de ses propres enfants (qui ont la joie de vivre) nous a rassuré. Elle parle français correctement, apparaît douce, calme et patiente. Seule défault. Son prix. Mais bon on ne va pas chipoter. La tranquillité d'esprit n'a pas de prix.
On continue néanmoins de chercher. Histoire d'être sûr. Parce que s'il y a une chose dont on est certain, c'est qu'on ne veut pas se tromper.
lundi 26 mai 2014
29ème semaine de grossesse...
Les puristes parleront de la 31ème semaine d'aménorrhées (fin des dernières règles). Lors de notre dernière visite de contrôle chez la gynéco, celle-ci nous à indiqué que la petite choupinette avait la tête en bas... Pour patienter jusqu'à la troisième (et dernière) échographie, petite image pour illustrer :
29ème semaine
Par cette position, la choupinette fait pression sur le périnée de la Maman (ce qui semble être désagréable). Pour alléger cette pression, la Maman est obligée de rester le plus possible allongée...
dimanche 25 mai 2014
Le prénom...
Qui a déjà vu le film "Le prénom" ? Nous on a beaucoup aimé ! Malgré tout, on se gardera bien de vous faire la blague du film hein ;) On vous laisse le découvrir.
De notre côté, en l'état actuel des choses, on a une short-list de trois prénoms. On a un prénom de tête et deux challengers... Nous connaissant, il va être difficile de faire un choix.
Alors on a choisi de faire participer la principale concernée... La choupinette.
Julie s'est allongée et j'ai posée la main sur son ventre. Comme a son habitude ces temps ci, la petite nous a fait un petit signe. J'ai alors prononcé doucement près du ventre les trois prénoms, un par un... Avec une pause entre chacun d'entre eux afin de voir si la petite réagissait...
Verdict : A deux reprises, la petite a bougé sur le troisième prénom !
Maintenant, on est bien embarrassé. D'abord, que signifie son signe ? Qu'elle aime ou qu'elle n'aime pas ? On a la pression, il ne faut pas se tromper, maintenant qu'elle a donné son avis ;)
De plus, il s'agit du troisième prénom dans la liste, il aurait été plus simple qu'elle confirme/infirme notre premier choix ;)
Du coup je pense qu'on va devoir choisir par nous même. Retour au point de départ... Croisons les doigts pour que l'on fasse le bon choix :)
Bises
De notre côté, en l'état actuel des choses, on a une short-list de trois prénoms. On a un prénom de tête et deux challengers... Nous connaissant, il va être difficile de faire un choix.
Alors on a choisi de faire participer la principale concernée... La choupinette.
Julie s'est allongée et j'ai posée la main sur son ventre. Comme a son habitude ces temps ci, la petite nous a fait un petit signe. J'ai alors prononcé doucement près du ventre les trois prénoms, un par un... Avec une pause entre chacun d'entre eux afin de voir si la petite réagissait...
Verdict : A deux reprises, la petite a bougé sur le troisième prénom !
Maintenant, on est bien embarrassé. D'abord, que signifie son signe ? Qu'elle aime ou qu'elle n'aime pas ? On a la pression, il ne faut pas se tromper, maintenant qu'elle a donné son avis ;)
De plus, il s'agit du troisième prénom dans la liste, il aurait été plus simple qu'elle confirme/infirme notre premier choix ;)
Du coup je pense qu'on va devoir choisir par nous même. Retour au point de départ... Croisons les doigts pour que l'on fasse le bon choix :)
Bises
mercredi 21 mai 2014
La future maman... à sept mois et demi :)
La petite choupinette fait un joli ventre tout rond à sa maman !
mardi 20 mai 2014
Péridurale... ou pas ?
Avant nos séances de préparation à l’accouchement, je pensais qu'au siècle où l'on vit, refuser la péridurale relève du pur masochisme.
Pourtant durant nos séances de préparation à l'accouchement avec la sage-femme, elle semblait tout nous apprendre pour gérer au mieux un accouchement sans la fameuse péridurale... Mais à quoi peut il bien servir de refuser de souffrir ?
La réponse est la suivante : Péridurale ou pas, chaque option possède ses avantages et ses inconvénients.
Avantages de la péridurale : Pas ou peu de douleurs. (un seul avantage mais pas des moindres...)
Inconvénients : La péridurale est une anesthésie. Si elle est mal dosée, la maman ne ressent pas la sensation d'accouchement. Pire, elle peut même ne pas ressentir le besoin de pousser, ce qui entraîne - dans de rares cas - la nécessité d'utiliser une aide médicale : la ventouse... De plus, la péridurale nécessite un catheter dans le dos et un monitoring constant du coeur du bébé : la position allongée est donc obligatoire. Sans péridurale, il est envisageable pour la maman de se promener, de s'asseoir sur un ballon, etc... Enfin, il est prouvé que les femmes ayant accouché sans péridurale "récupèrent" mieux de l'accouchement que les femmes en ayant bénéficié.
Aussi, la meilleure attitude à adopter est - selon le point de vue de Julie - de ne pas se fermer à ces deux possibilités. Essayer tant que possible un accouchement sans péridurale pour s'approcher de l'accouchement physiologiquement naturel avec la fierté que cela peut procurer. Et puis, à l'inverse, si les conditions le nécessitent (durée trop longue du travail, fatigue importante de la maman, douleurs insupportables, complications...) accepter sans hésitation la péridurale afin que l'accouchement ne se vive pas comme un cauchemar.
En fait, p't être bien qu'oui, p't être bien qu'non...
Bises à vous tous
Pourtant durant nos séances de préparation à l'accouchement avec la sage-femme, elle semblait tout nous apprendre pour gérer au mieux un accouchement sans la fameuse péridurale... Mais à quoi peut il bien servir de refuser de souffrir ?
La réponse est la suivante : Péridurale ou pas, chaque option possède ses avantages et ses inconvénients.
Avantages de la péridurale : Pas ou peu de douleurs. (un seul avantage mais pas des moindres...)
Inconvénients : La péridurale est une anesthésie. Si elle est mal dosée, la maman ne ressent pas la sensation d'accouchement. Pire, elle peut même ne pas ressentir le besoin de pousser, ce qui entraîne - dans de rares cas - la nécessité d'utiliser une aide médicale : la ventouse... De plus, la péridurale nécessite un catheter dans le dos et un monitoring constant du coeur du bébé : la position allongée est donc obligatoire. Sans péridurale, il est envisageable pour la maman de se promener, de s'asseoir sur un ballon, etc... Enfin, il est prouvé que les femmes ayant accouché sans péridurale "récupèrent" mieux de l'accouchement que les femmes en ayant bénéficié.
Aussi, la meilleure attitude à adopter est - selon le point de vue de Julie - de ne pas se fermer à ces deux possibilités. Essayer tant que possible un accouchement sans péridurale pour s'approcher de l'accouchement physiologiquement naturel avec la fierté que cela peut procurer. Et puis, à l'inverse, si les conditions le nécessitent (durée trop longue du travail, fatigue importante de la maman, douleurs insupportables, complications...) accepter sans hésitation la péridurale afin que l'accouchement ne se vive pas comme un cauchemar.
En fait, p't être bien qu'oui, p't être bien qu'non...
Bises à vous tous
samedi 17 mai 2014
Un ventre en lumière
Vous avez dit bizarre ??? Non, on dit... ARTISTIQUE :)
J'ai juste essayé de voir la petite choupinette en transparence... Un peu comme on essaye de voir le contenu d'une enveloppe sous une source lumineuse. Bon le projet est un échec, l’échographie reste plus efficace :)
Bises,
jeudi 15 mai 2014
Préparation à l'accouchement
Autre rendez vous mythique de la grossesse, les cours de préparation à l'accouchement.
Oui, pour ceux que cela étonne (j'en aurais fait parti ;) il existe une sorte de préparation, d'entraînement, pour préparer les futures maman et les futurs papa à l'épreuve de l'accouchement.
Pour nous, ils se déroulent chez une sage femme. Très accessible, très patiente, elle nous informe qu'il y aura une dizaine de séances sur le sujet.
Sur le coup, j'avoue que je suis étonné car cela me paraît beaucoup... Ce serait si difficile un accouchement ???
La deuxième séance avait pour thème la gestion des contractions. Il paraît que cela fait comme des douleurs de règles (moi cela ne m'avance pas beaucoup ceci dit...) et que c'est bien entendu beaucoup plus douloureux.
Elle passa donc 40 minutes à nous expliquer les techniques pour que la maman puisse supporter ces douleurs. Petit résumé (petit hein ;)
- Techniques psychologiques : Se relaxer pendant les "pauses" de contractions. Ne pas penser à la prochaine. Pendant ces pauses, il faut faire le vide, somnoler, parler, écouter de la musique, tout faire pour se relaxer. Si la contraction débute sur un corps déjà tendu, elle sera plus douloureuse et c'est un cercle vicieux. Il faut donc provoquer le cercle verteux en cherchant la détente. Autant que possible bien entendu...
- Techniques de relaxation : La respiration est primordiale. Il faut toujours respirer pendant la contraction. Ne jamais faire de l'apnée ni de l'hyperventilation. Respirer profondément avec une expiration plus longue, plus appuyée. Toujours se concentrer sur la respiration.
Le rôle du Papa dans tout cela ? Soutenir la maman. Faire en sorte qu'elle applique tout ces conseils, l'aider à se détendre et à supporter les douleurs. En cas de panique de la maman, le papa doit respirer avec elle, en la regardant dans les yeux. A deux on est toujours plus fort.
Et ça dure combien de temps un accouchement demandais-je ? 10 heures en moyenne...
A quand même ! 10 heures de douleurs. Et bien, expliqué comme ça, cela fait rêver dites moi...
Heureusement que l'arrivée de la petite choupinette compensera cette épreuve !
Suite au prochain épisode, bises à tous :)
Oui, pour ceux que cela étonne (j'en aurais fait parti ;) il existe une sorte de préparation, d'entraînement, pour préparer les futures maman et les futurs papa à l'épreuve de l'accouchement.
Pour nous, ils se déroulent chez une sage femme. Très accessible, très patiente, elle nous informe qu'il y aura une dizaine de séances sur le sujet.
Sur le coup, j'avoue que je suis étonné car cela me paraît beaucoup... Ce serait si difficile un accouchement ???
La deuxième séance avait pour thème la gestion des contractions. Il paraît que cela fait comme des douleurs de règles (moi cela ne m'avance pas beaucoup ceci dit...) et que c'est bien entendu beaucoup plus douloureux.
Elle passa donc 40 minutes à nous expliquer les techniques pour que la maman puisse supporter ces douleurs. Petit résumé (petit hein ;)
- Techniques psychologiques : Se relaxer pendant les "pauses" de contractions. Ne pas penser à la prochaine. Pendant ces pauses, il faut faire le vide, somnoler, parler, écouter de la musique, tout faire pour se relaxer. Si la contraction débute sur un corps déjà tendu, elle sera plus douloureuse et c'est un cercle vicieux. Il faut donc provoquer le cercle verteux en cherchant la détente. Autant que possible bien entendu...
- Techniques de relaxation : La respiration est primordiale. Il faut toujours respirer pendant la contraction. Ne jamais faire de l'apnée ni de l'hyperventilation. Respirer profondément avec une expiration plus longue, plus appuyée. Toujours se concentrer sur la respiration.
Le rôle du Papa dans tout cela ? Soutenir la maman. Faire en sorte qu'elle applique tout ces conseils, l'aider à se détendre et à supporter les douleurs. En cas de panique de la maman, le papa doit respirer avec elle, en la regardant dans les yeux. A deux on est toujours plus fort.
Et ça dure combien de temps un accouchement demandais-je ? 10 heures en moyenne...
A quand même ! 10 heures de douleurs. Et bien, expliqué comme ça, cela fait rêver dites moi...
Heureusement que l'arrivée de la petite choupinette compensera cette épreuve !
Suite au prochain épisode, bises à tous :)
lundi 12 mai 2014
Mode de garde
Réponse de la mairie concernant la crèche :
A la suite de la commission d'attribution des places du 03/04/2014, nous avons le regret de vous annoncer qu'aucune place n'a pu être attribuée à votre enfant.
Je relis la phrase tel un verdict de cour d'assises... On avais pourtant mis toutes les chances de notre côté, la semaine où l'on avais appris la grossesse de Julie, on s'était inscrit auprès de la mairie...
Mais bref, comme je l'ai lu quelque part, la réussite dans la vie dépend de la qualité de nos plans B.
Alors la deuxième solution que l'on avait envisagé en cas d’échec de la crèche, s'était la crèche familiale. De quoi s'agit-il ? Il s'agit d'un groupe d'assistantes maternelles qui sont regroupées dans une association gérée par une éducatrice ou une puéricultrice. Le point particulier s'est qu'au lieu d'engager directement une assistante maternelle, la relation est contractualisée avec l'association (et non pas directement avec l'assistante maternelle). C'est un avantage non négligeable car à mon avis il n'y a pas plus prise de tête que la gestion de la relation employeur/employé (congés, fiches de paie...)
On avait rencontré l'éducatrice en charge de la structure près de chez nous. Elle nous avait assuré qu'au vu de la naissance de la choupinette, on aurait certainement de la place chez une des assistantes maternelles.
Alors on s'est manifesté auprès de l'éducatrice en question, elle nous a communiqué les coordonnées d'une assistante maternelle juste à côté de chez nous (l'immeuble d'à côté).
A suivre ;) Une longue quête commence...
A la suite de la commission d'attribution des places du 03/04/2014, nous avons le regret de vous annoncer qu'aucune place n'a pu être attribuée à votre enfant.
Je relis la phrase tel un verdict de cour d'assises... On avais pourtant mis toutes les chances de notre côté, la semaine où l'on avais appris la grossesse de Julie, on s'était inscrit auprès de la mairie...
Mais bref, comme je l'ai lu quelque part, la réussite dans la vie dépend de la qualité de nos plans B.
Alors la deuxième solution que l'on avait envisagé en cas d’échec de la crèche, s'était la crèche familiale. De quoi s'agit-il ? Il s'agit d'un groupe d'assistantes maternelles qui sont regroupées dans une association gérée par une éducatrice ou une puéricultrice. Le point particulier s'est qu'au lieu d'engager directement une assistante maternelle, la relation est contractualisée avec l'association (et non pas directement avec l'assistante maternelle). C'est un avantage non négligeable car à mon avis il n'y a pas plus prise de tête que la gestion de la relation employeur/employé (congés, fiches de paie...)
On avait rencontré l'éducatrice en charge de la structure près de chez nous. Elle nous avait assuré qu'au vu de la naissance de la choupinette, on aurait certainement de la place chez une des assistantes maternelles.
Alors on s'est manifesté auprès de l'éducatrice en question, elle nous a communiqué les coordonnées d'une assistante maternelle juste à côté de chez nous (l'immeuble d'à côté).
A suivre ;) Une longue quête commence...
lundi 5 mai 2014
La poussette
On vous avait parlé de la poussette dans un précédent post. Et bien une étape importante a été franchie. On a trouvé le modèle idéal ! THE poussette. La poussette de la choupinette.
Initialement, on était parti pour un modèle d'occasion. Après quelques semaines de recherches, il fallait se rendre à l'évidence que notre bonheur n'était pas sur le bon coin. On n'a pas pu trouver de modèles qui correspondait à nos critères. Le plus discriminant étant celui de compacité...
On aurait pu prendre le problème dans l'autre sens. Si la poussette ne rentre pas dans la voiture, ce n'est pas le problème de la poussette, mais celui de la voiture. Changer de voiture ?
Après analyse de la situation et de nos finances, il valait mieux payer un peu plus cher la poussette que de se lancer dans un changement de voiture. On s'est redirigé vers les magasins bébé, rayon poussette.
Et là, révélation, on est tombé sur notre graal. La poussette qui remplissait tous les critères. Son petit nom : Jané Mumm + Matrix light 2. (Pas d'inquiétude, on vous explique tout cela ci-dessous)
Jané : Une marque Espagnole de très bonne réputation.
Mumm : Le nom du chassis avec l'assise.
Matrix light 2 : Le nom du module 2 en 1 qui fait office de nacelle (position allongée) et de cosi (position assise).
Aussi incroyable que cela puisse paraître, tout nos critères sont respectés :
- Praticité : Le pliage du chassis est un jeu d'enfant. Ajouter et enlever la nacelle l'est tout autant. Le chassis est l'un des plus léger du marché. Les roues se démontent en une pression. J'ai trouvé cette idée géniale, cela permet par exemple d'éviter de souiller tout l'appart' après une sortie sous la pluie. La matrix (cosi+nacelle) peut se fixer dans la voiture (pratique jusqu'à 9 mois, pour éviter de sortir bébé de la nacelle lorsqu'il s'est endormi dans la voiture)
- Compacité : Replié, le chassis rentre dans le coffre de la clio (en soi c'est un exploit). Le système 2en1 de la matrix qui fait à la fois cosi et nacelle permet d'économiser un module volumineux. Et cela, dans notre petit trois pièces, c'est appréciable.
- Sécurité : L'ensemble donne une impression de solidité. On a pu le constater en la comparant à d'autres modèles en magasin. De plus les mousses sur les parties assises sont bien présentes. Faut aussi penser au confort de la choupinette ;).
- Pas de gadgets inutiles : Pour ne pas avoir à payer un montant astronomique, on ne voulait pas de fonctions superflues. C'est le cas avec ce modèle : Pas de freins à disque, pas de pneus à chambre à air, pas d'ombrelles intégrées, pas d'amortisseur, etc... Ils ont juste réussi à lui coller un sac à langer assorti. On aurait pu s'en passer. Mais bon rien n'est parfait ;)
Quand un vendeur nous a montré cette poussette on a donc été conquis. D'autant plus que les coloris de l'année précédente étaient soldés pour l'arrivée des nouveaux coloris 2014 ! Parfait pour nous.
On a pris la dernière en stock (les clients après nous on acheté le modèle d'exposition). Au final on est plutôt content car on a pu acheter un modèle neuf, conforme à nos attentes et en plus qui était soldé.
Cela reste néanmoins un budget très important. S'il y a quelques années, on m'avait dit que je dépenserai autant d'argent pour une poussette, j'aurais certainement bien rigolé ! (la bonne blague tiens...)
Mais je parle et je parle encore. Alors j'arrête un peu et je fais place aux photos (issues du net, la notre est encore dans le carton ;) :
Initialement, on était parti pour un modèle d'occasion. Après quelques semaines de recherches, il fallait se rendre à l'évidence que notre bonheur n'était pas sur le bon coin. On n'a pas pu trouver de modèles qui correspondait à nos critères. Le plus discriminant étant celui de compacité...
On aurait pu prendre le problème dans l'autre sens. Si la poussette ne rentre pas dans la voiture, ce n'est pas le problème de la poussette, mais celui de la voiture. Changer de voiture ?
Après analyse de la situation et de nos finances, il valait mieux payer un peu plus cher la poussette que de se lancer dans un changement de voiture. On s'est redirigé vers les magasins bébé, rayon poussette.
Et là, révélation, on est tombé sur notre graal. La poussette qui remplissait tous les critères. Son petit nom : Jané Mumm + Matrix light 2. (Pas d'inquiétude, on vous explique tout cela ci-dessous)
Jané : Une marque Espagnole de très bonne réputation.
Mumm : Le nom du chassis avec l'assise.
Matrix light 2 : Le nom du module 2 en 1 qui fait office de nacelle (position allongée) et de cosi (position assise).
Aussi incroyable que cela puisse paraître, tout nos critères sont respectés :
- Praticité : Le pliage du chassis est un jeu d'enfant. Ajouter et enlever la nacelle l'est tout autant. Le chassis est l'un des plus léger du marché. Les roues se démontent en une pression. J'ai trouvé cette idée géniale, cela permet par exemple d'éviter de souiller tout l'appart' après une sortie sous la pluie. La matrix (cosi+nacelle) peut se fixer dans la voiture (pratique jusqu'à 9 mois, pour éviter de sortir bébé de la nacelle lorsqu'il s'est endormi dans la voiture)
- Compacité : Replié, le chassis rentre dans le coffre de la clio (en soi c'est un exploit). Le système 2en1 de la matrix qui fait à la fois cosi et nacelle permet d'économiser un module volumineux. Et cela, dans notre petit trois pièces, c'est appréciable.
- Sécurité : L'ensemble donne une impression de solidité. On a pu le constater en la comparant à d'autres modèles en magasin. De plus les mousses sur les parties assises sont bien présentes. Faut aussi penser au confort de la choupinette ;).
- Pas de gadgets inutiles : Pour ne pas avoir à payer un montant astronomique, on ne voulait pas de fonctions superflues. C'est le cas avec ce modèle : Pas de freins à disque, pas de pneus à chambre à air, pas d'ombrelles intégrées, pas d'amortisseur, etc... Ils ont juste réussi à lui coller un sac à langer assorti. On aurait pu s'en passer. Mais bon rien n'est parfait ;)
Quand un vendeur nous a montré cette poussette on a donc été conquis. D'autant plus que les coloris de l'année précédente étaient soldés pour l'arrivée des nouveaux coloris 2014 ! Parfait pour nous.
On a pris la dernière en stock (les clients après nous on acheté le modèle d'exposition). Au final on est plutôt content car on a pu acheter un modèle neuf, conforme à nos attentes et en plus qui était soldé.
Cela reste néanmoins un budget très important. S'il y a quelques années, on m'avait dit que je dépenserai autant d'argent pour une poussette, j'aurais certainement bien rigolé ! (la bonne blague tiens...)
Mais je parle et je parle encore. Alors j'arrête un peu et je fais place aux photos (issues du net, la notre est encore dans le carton ;) :
Pour le coloris, on a pas choisi, on a pris la version 2013 soldée ;) Mais ça nous convient, cela reste sobre.
Le chassis replié. Les roues peuvent être enlevées en appuyant sur l'axe central. Un petit espace au centre est prévu pour les ranger.
La matrix, qui passe en quelques secondes de la position nacelle à la position cosi.
Sur cette photo, on voit la poussette avec la matrix en version nacelle sur le chassis.
vendredi 2 mai 2014
Table à langer - Le matelas
Une table à langer n'est rien sans son matelas éponyme. Ce serait un peu comme une voiture sans volant, une montre sans aiguilles, ou encore une bière sans picon (pour les alsaciens...). Vous imaginez l'enjeu.
Du coup on a pris l'affaire au sérieux, et - cela devient une habitude - on a arpenté les allées chargées des magasins bébé. Parmi le choix pléthorique, on en a trouvé un tout mignon :)
Il s'agit de la collection "India" chez Sauthon. A -20%, on a sauté le pas :
Du coup on a pris l'affaire au sérieux, et - cela devient une habitude - on a arpenté les allées chargées des magasins bébé. Parmi le choix pléthorique, on en a trouvé un tout mignon :)
Il s'agit de la collection "India" chez Sauthon. A -20%, on a sauté le pas :
Prochaine étape, la décoration avec des stickers, car on a choisi de s'épargner une re-peinture complète de la chambre. Les stickers seront de la même collection. On postera des photos dès qu'ils seront appliqués ;)
Bises à vous tous.
jeudi 1 mai 2014
La paranoïa
A force de regarder les émissions alarmistes de type "Envoyé spécial", développant les sujets du type:
- Elevage de poulet aux antibiotiques
- Pollution dans les poissons
- Peintures toxiques dans les meubles en kit
- Aspartame cancérigène dans les boissons
- Microbes dans les claviers...
On en devient paranoïaque.
Moi en tout cas. Surtout que depuis que Julie est enceinte. Alors je me surprends à mettre 5 minutes pour choisir un jus d'orange :
Julien : Tu veux quoi comme jus d'orange ?
Julie : Il y a quoi comme choix ?
Julien : Je te le réduis à deux : bio ou pas ?
Julie : Prends le bio.
Julien : Mais j'ai vu que le bio il vient d'Espagne, et hier sur la 5, ils expliquaient que le bio espagnol n'en est pas vraiment un.
Julie : Prends l'autre alors, c'est moins cher.
Julien : Mais dans l'autre, c'est des oranges issues de plantations industrielles, ou il remplacent l'eau d'arrosage par de l'engrais. Pas bon pour bébé ça.
Julie : ...
Julien : Si choisir c'est renoncer, alors je choisi de renoncer au jus d'orange. De toute façon, c'est trop sucré.
Autre exemple :
Je télécharge en wifi de la musique (légale bien entendu). Je regarde la barre de progression avancer doucement... Et soudain, en quelques fractions de secondes, je me mets à imaginer toutes ces ondes traversant la pièce, dans laquelle est Julie.
Et si ces ondes avaient un impact sur le foetus ?
Est ce qu'elles pourraient traverser le liquide amniotique et ainsi impacter la petite choupinette à l'intérieur ?
Je me suis surpris à cliquer frénétiquement sur le bouton arrêt. Mais arrête toi, satané téléchargement ! Dorénavant, je me brancherai en direct à la Livebox.
Un peu paranoïaque vous avez dit ? Mais non, il faut juste que j'arrête la TV. De toute façon ce n'est pas bon pour le bébé ;)
- Elevage de poulet aux antibiotiques
- Pollution dans les poissons
- Peintures toxiques dans les meubles en kit
- Aspartame cancérigène dans les boissons
- Microbes dans les claviers...
On en devient paranoïaque.
Moi en tout cas. Surtout que depuis que Julie est enceinte. Alors je me surprends à mettre 5 minutes pour choisir un jus d'orange :
Julien : Tu veux quoi comme jus d'orange ?
Julie : Il y a quoi comme choix ?
Julien : Je te le réduis à deux : bio ou pas ?
Julie : Prends le bio.
Julien : Mais j'ai vu que le bio il vient d'Espagne, et hier sur la 5, ils expliquaient que le bio espagnol n'en est pas vraiment un.
Julie : Prends l'autre alors, c'est moins cher.
Julien : Mais dans l'autre, c'est des oranges issues de plantations industrielles, ou il remplacent l'eau d'arrosage par de l'engrais. Pas bon pour bébé ça.
Julie : ...
Julien : Si choisir c'est renoncer, alors je choisi de renoncer au jus d'orange. De toute façon, c'est trop sucré.
Autre exemple :
Je télécharge en wifi de la musique (légale bien entendu). Je regarde la barre de progression avancer doucement... Et soudain, en quelques fractions de secondes, je me mets à imaginer toutes ces ondes traversant la pièce, dans laquelle est Julie.
Et si ces ondes avaient un impact sur le foetus ?
Est ce qu'elles pourraient traverser le liquide amniotique et ainsi impacter la petite choupinette à l'intérieur ?
Je me suis surpris à cliquer frénétiquement sur le bouton arrêt. Mais arrête toi, satané téléchargement ! Dorénavant, je me brancherai en direct à la Livebox.
Un peu paranoïaque vous avez dit ? Mais non, il faut juste que j'arrête la TV. De toute façon ce n'est pas bon pour le bébé ;)
Inscription à :
Articles (Atom)